Il est carrément magnifique !
J’en voudrais bien un, mais est-ce suffisant pour faire tourner Final Cut de façon satisfaisante… Au pire, ce serait mignon comme petite machine pour ma chérie 🙂
Plus de photos ici 🙂
Les parents de Marie ont apporté la poussette du bébé 🙂
La notre est « bleu azur »
Je la monte ce soir en rentrant du boulot !
Site de Bébéconfort (en Flash), la référence de la poussette c’est Loola, on a pris le chassis (c’est plus pratique ;-)), la partie poussette (ils appellent ça le « hamac », normal vu qu’il va se la couler douce dedans…) et la nacelle (adaptable dans une voiture). On a eu du mal à choisir, mais finalement celle-ci à l’air très bien !
Mon repas de ce midi, au restau d’entreprise-d-en-face, était tellement délicieux qu’il mérite bien qu’on lui fasse éloge.
D’habitude le lundi, c’est steak haché (cru ou façon semelle) et sa fameuse sauce au poivre, accompagné de sa garniture de haricots verts archi cuits (vous en reprendrez bien une tranche ?).
Aujourd’hui, surprise (j’adore expérimenter) ! Au menu, donc :
Vient le moment délicat du choix des légumes.
Evitez les frites (cuites, puis recuites, puis recuites, jusqu’à ce qu’une bonne âme se décide à en prendre) sous peine de maux d’estomac terribles pour les 8 heures qui suivent.
Bon bah ça sera purée alors. (« pas trop s’il vous plaît, merci, oui, oui, une grande louche, ça suffit amplement, merci. »)
Il est grand temps de passer à la dégustation !
Le sauté de veau : bon, il doit avoir bien vécu ce veau. C’est filandreux à souhait, gras comme c’est pas permis, la sauce paprika fait de son mieux pour masquer le goût mais c’est raté : deux morceaux de gras (pardon, de veau) et je sens déjà monter le haut-le-coeur.
La purée : je ne sais pas à partir de quoi elle est faite, mais deux trois cuillerées et je ne peux plus rien avaler.
On passe au meilleur, donc : le pain et le dessert.
Retour au bureau pour le café avec les collègues, pour moi ce sera avec deux Rennies.
Finalement, ça change du steak haché, ça me fait encore un plat à rayer de la liste des menus comestibles. Ca va commencer à devenir chaud de manger là-bas 😉
Bizarrement, à 17 H j’avais comme un creux, là.
– Je ne pensais pas que l’armée romaine était aussi puissante !
Hop, voici le premier post d’une petite série : permis de rouler!
J’y ferai le récit de mon apprentissage de la motocyclette 🙂
Pourquoi passer le permis, maintenant ? En fait c’est une vieille envie que je traîne depuis l’adolescence : j’avais envie de passer le permis moto avant même le permis auto. Finalement j’ai passé le permis accompagné dès 17 ans. Lorsque j’ai obtenu le permis B à 18 ans, je me suis renseigné pour le permis moto… Verdict : trop cher, surtout avec une voiture à acheter. Jusqu’à la date fatidique des 5 ans de code je me suis tâté pour le passer, mais finalement j’ai remis à plus tard. Une fois cette date dépassée, j’ai laissé couler, mais je sentais quand même souvent l’envie me reprendre…
Finalement, il m’a semblé que l’année 2004 serait la bonne : la parfaite combinaison de temps disponible (que je n’aurai sans doute plus dans un avenir proche, bébé oblige :-)) et du nerf de la guerre. En août j’ai commencé à me renseigner à la moto-école la plus proche et qui semblait avoir bonne réputation. Je suis parti en vacances en septembre et me suis inscrit pour une formation complète, y compris le code, dès octobre.
Octobre 2004, retour à la salle de code. On utilise des DVD en lieu et place des diapos, remisées dans un coin poussiéreux. Il y a quelques nouvelles questions, notamment de notions (vraiment notions, hein) de mécanique automobilistique ! Les premiers QCM ne sont pas fameux, mais au bout de quelques jours les vieilles habitudes reviennent vite, on repère vite les questions piège. Le nombre de fautes baisse, les explications des bonnes réponses énoncées par les croque-morts engagés pour faire les voix-off des DVD pèsent de plus en plus : deux séances d’affilée et je me sens proche du coma.
Heureusement, mes bons résultats incitent le responsable de la moto école à me faire commencer le plateau avant que je repasse mon code : j’effectue ma première leçon (une séance d’évaluation) le 5 octobre.
La délivrance arrive fin octobre, je passe mon code un vendredi matin, dans une salle d’examen parisienne défraîchie, moquettée façon 70’s. Malgré l’agression visuelle j’obtiens l’ETG (Epreuve Théorique Générale) pour la deuxième fois, 10 ans après la première.
A suivre…