Permis de rouler, part one : back to basics

Hop, voici le premier post d’une petite série : permis de rouler!
J’y ferai le récit de mon apprentissage de la motocyclette 🙂

Intro : Mais qu’elle mouche l’a piqué ?

Pourquoi passer le permis, maintenant ? En fait c’est une vieille envie que je traîne depuis l’adolescence : j’avais envie de passer le permis moto avant même le permis auto. Finalement j’ai passé le permis accompagné dès 17 ans. Lorsque j’ai obtenu le permis B à 18 ans, je me suis renseigné pour le permis moto… Verdict : trop cher, surtout avec une voiture à acheter. Jusqu’à la date fatidique des 5 ans de code je me suis tâté pour le passer, mais finalement j’ai remis à plus tard. Une fois cette date dépassée, j’ai laissé couler, mais je sentais quand même souvent l’envie me reprendre…

Finalement, il m’a semblé que l’année 2004 serait la bonne : la parfaite combinaison de temps disponible (que je n’aurai sans doute plus dans un avenir proche, bébé oblige :-)) et du nerf de la guerre. En août j’ai commencé à me renseigner à la moto-école la plus proche et qui semblait avoir bonne réputation. Je suis parti en vacances en septembre et me suis inscrit pour une formation complète, y compris le code, dès octobre.

Part one : back to basics

Octobre 2004, retour à la salle de code. On utilise des DVD en lieu et place des diapos, remisées dans un coin poussiéreux. Il y a quelques nouvelles questions, notamment de notions (vraiment notions, hein) de mécanique automobilistique ! Les premiers QCM ne sont pas fameux, mais au bout de quelques jours les vieilles habitudes reviennent vite, on repère vite les questions piège. Le nombre de fautes baisse, les explications des bonnes réponses énoncées par les croque-morts engagés pour faire les voix-off des DVD pèsent de plus en plus : deux séances d’affilée et je me sens proche du coma.
Heureusement, mes bons résultats incitent le responsable de la moto école à me faire commencer le plateau avant que je repasse mon code : j’effectue ma première leçon (une séance d’évaluation) le 5 octobre.

La délivrance arrive fin octobre, je passe mon code un vendredi matin, dans une salle d’examen parisienne défraîchie, moquettée façon 70’s. Malgré l’agression visuelle j’obtiens l’ETG (Epreuve Théorique Générale) pour la deuxième fois, 10 ans après la première.

A suivre…

Rejoindre la conversation

3 commentaires

  1. Je tente mon premier commentaire sur ton blog. Marchera, marchera pas ?…
    Comme tu avais l’air malheureux avant cette délivrance que représente ce permis moto 😉 Je souhaite que désormais ta vie ne soit que confiture de rose 🙂 Notre fiston pourra être fier de son papa motard !
    « Ta petite femme »

Laisser un commentaire

Laisser un commentaire