Coupage

Francophones avertis, s’abstenir- merci !

Vous avez bien entendu tous remarqué que Kelyan avait les cheveux coupés pour la fête de la piscine samedi. C’est normal, c’est parce qu’il est allé chez le coiffeur samedi matin avec sa maman adorée.
* Temps total de l’opération (enlevage + coupage/coiffage + remettage du manteau + payage) = 15 minutes 😉
* Coût total de l’opération (à savoir humidifiage du cheveu à l’aide d’un vaporisateur (pas de shampooïnage) + coupage au ciseau + finissage à la tondeuse) = … ?
Les jeux sont ouverts, à vos pavés numériques m’ssieurs/dames. Ceux qui trouvent ont droit de m’expliquer ce tarif par A+B.
(Attention : toutes les photos sont de très mauvaise qualité faites avec un téléphone portable -sorry)

Avant :
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Après :
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Kelyan est resté très sage et très attentif à son image. Il a l’air très sérieux ici mais il s’est imprégné de chaque geste de la coiffeuse et surtout, elle n’avait pas intérêt à faire des trous…

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Voici à quoi il ressemblerait si on l’avait appelé Kevin 😉 :

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… elle n’avait pas intérêt à faire des échelles sur le côté non plus…

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La « photo » suivante rend mieux compte de son comportement global :

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A la question « tu te trouves beau ? » il répondait par un sourire faussement modeste 😉

Devant tant de gentillesse, je décidai de lui acheter un petit met succulent pour le récompenser de son comportement exemplaire :

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Un mini éclair et une mini religieuse au café. Une fois encore, j’attends un prix de votre part. Le plus proche de la réalité aura droit à toute mon indignation. Tout compte fait, la province ça a aussi du bon (père j’attends tes remarques pro-provinciales, voire rurales avec impatience)

Et pour finir, la pire de toutes. Non seulement la qualité est plus que contestable, mais en plus on peut apercevoir un « léger » voile de glaçage café 😉

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A+

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16 commentaires

  1. 15 euros ?
    dommage qu’ils soit trop petit pour apprécier d’avoir la tête calée entre les nichons de la coiffeuse, c’est très agréable 😉

  2. Le coupe-tif : 13€95. C’est mon dernier prix. Et pis radine comme tu es, tu n’as pas laissé de « pourliche »… (ça c’est le parler d’la campagne)
    Les gâteaux : de quoi te plains tu ??? Qui dit peu de glaçage, dit moins de sucre pour y niquer les dents… moins de visites chez le dentiste, donc économie.
    Il eut été préférable de récompenser le « tondu » par une pomme ou une orange : passeque y a tout qu’est bon dedans.
    Et maintenant, la minute de culture :
    Chez nous, on ne va pas AU coiffeur, ni même CHEZ le coiffeur. On va chez le MERLAN… Pourquoi me demandez-vous ???
    Parcequ’au siècle dernier, le perruquier (coiffeur) était à longueur de journée recouvert de poudre blanche, comme le merlan enduit de farine, prêt à plonger dans la friture.
    Vous souhaitez savoir autre chose ? N’hésitez pas… je suis là.

  3. Anecdote coiffeuresque:
    Il y a environ 2 mois, je me rends chez mes 2 coiffeuse préfèrées, à moto par un bel aprés-midi ensoleillé. Une petite dizaine de Kms. Au tiers du parcours, petites gouttellettes qui se transforment en grosses gouttes pour devenir orage (ô désespoir) de grêlons.
    Le jeans totalement trempé (le salon étant sans client) ma coiffeuse me propose de l’ôter pour le mettre au sèche-linge ! J’ai décliné l’offre, et bien m’en pris, car 5 minutes après 2 clientes sont arrivées.
    Et donc, pendant que la charmante Camille me massait le cuir chevelu, la gentille Pauline essuyait mon blouson et mon casque à l’aide de serviettes éponge…
    Et quand je suis reparti, l’une d’entre-elle est sortie essuyer la selle de la Ducat’.
    C’est y pas du bon coiffeur de province? Il faut dire que je ne suis regardant sur le « pourliche ».
    ***
    Après les fêtes (si j’y pense), j’aurai 2 autres anecdotes « coiffeur » à vous compter. Des souvenirs d’enfance.
    Bonnes fêtes de fin d’année à tous et retour le 7 janvier 2008.

  4. C’est un forfait non ? c’eût (t)été le même prix avec le shampoing.
    Sinon une bonne tondeuse : 30€, amortie en deux coupes !

  5. Eh non, avec le shampooing c’est 23€. Sinon pour la tondeuse c’est gentil mais je pense qu’il fera très tête à claques 😉

  6. Ala demande générale (!) et comme promis, voici la suite de mes aventures cheveulesques.
    ***
    Dans les années 64/65 j’allais seul chez le coiffeur du quartier. Avant qu’il œuvre, je donnais mes instructions : « pas trop court sur les côtés, laissez long derrière, ne coupez pas la mèche « si vous plé m’sieur » !». Je voulais ressembler à Antoine et aux Beatles…
    Et chaque fois, je ressortais avec une coupe « en brosse » comme c’est la mode actuellement.
    Lorsque j’ai compris que mon père passait voir le « Merlan » avant moi pour lui donner SES instructions, j’ai décidé de changer d’établissement, et c’est là que j’ai eu la honte de ma vie (enfin la 1ère !) …
    Belle devanture sur la Grand-Place-du-marché, personnel jeune, en nombre et petit salon d’attente avec BD de Mickey et autres Pif-Poche.
    Quand ce fut mon tour, la vilaine dame (la s.l.p.) trouvant certainement que je ne faisais pas la hauteur requise, posa une planche sur les 2 accoudoirs et me porta dans ses bras pour m’assoir à sa hauteur ! C’te HONTE devant tout le monde… plus une engueulade en rentrant car ma coupe n’était pas assez courte et j’avais dépensé plus que prévu. (5,30 francs pour 5,00 francs autorisé)(Aujourd’hui, 0,80€)
    Ce jour là, le salon a perdu un client… PETIT, peut-être mais client quand même.
    ***
    A suivre une autre anecdote, limite « carré blanc »…

  7. Au début, je précise que c’est dans les années 64/65… Connais-tu l’année de ma naissance ? Non je ne pense pas ! Donc 1964/65 – 1953 = 11/12 ans.
    Comme nous sommes dans le post « coiffeur », as-tu fait une teinture ??? (blonde)

  8. Suite et fin de mes aventures trépidantes chez le coiffeur.
    ***
    A la même époque que précédemment (11/12 ans), autre coiffeur de quartier. (L’habituel étant fermé)
    J’étais le seul client. Après m’avoir humecté les poils et tailladé une moitié de chevelure, la femme du coiffeur passe le voir et lui chuchote à l’oreille… gloussement, ricanement, regards complices… et v’là t’y pas que le monsieur et la dame partent dans l’arrière-boutique et ferment la porte. Je suis resté seul pendant 5, 10 ou 15 minutes (je ne sais plus) mais le temps m’a parut long, long, très long…
    Bigre ! qu’ont-il pu bien faire, qui ne pouvait pas attendre ???
    Le coiffeur est revenu, m’a raconté un truc bidon et a fini l’autre moitié de ma tête en sifflotant… Heureux homme ! Mais lui aussi il a perdu un client.

    Ne faisant plus confiance à aucun coiffeur, c’est à partir de cette époque que j’ai gardé les cheveux long, long, long (1968 n’étant pas loin) jusqu’aux épaules, ce qui généra des soucis au cours de ma scolarité, qui contrairement à mes cheveux ne fut pas des plus longue…

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