Voici une petite séquence nostalgie grâce aux photos que mon père a retrouvées de moi petite en rapport avec des engins (motorisés ou non) bien entendu… Je passerai outre les anecdotes où mon « pounet » me nettoyait des pieds à la tête avant de rentrer à la maison afin de me rendre à ma mère dans un état acceptable et ainsi effacer toute trace de nos péripéties dominicales 🙂
Toutefois je me permettrai une petite parenthèse pour signaler que la première fois où je suis allée chez Tibo, j’ai tout de suite reconnu de la vue de sa chambre, au bas de son immeuble, le garage que louait mon père pour y ranger sa moto et la mienne jusqu’à mes 4 ans !! Si ça c’est pas le destin ?! 😉
Pour les curieux, je ferai de mon mieux pour vous dégoter des photos du « Tibo jeune », déjà fort beau mais somme toute dissipé et intrépide à ce qu’il parait 😉
1 an et demi sur une Italjet (Photo prémonitoire sur une remorque… mon père m’y avait posée juste pour la photo 😉 )
Voici le fameux vélo qui me permit quelques mois plus tard (une fois les roulettes devenues superflues – pour ceux qui suivent 😉 ) d’accéder à ma première moto…
Moi :téméraire. Mon père : on ne peut plus fier 😉 :
Déjà j’avais envie de conduire :
Me voici à 1 an et demi dans une Peugeot 504 :
Et sur la TY de mon père, (oui oui c’est toujours la même). J’avais 7-8 mois :
Et la photo finale est pour…. ma première moto, une Italjet que mon père adorerait racheter…
J’espère que ces archives en auront ravi certains 😉
absolument ravi, merci 🙂
Te nettoyer est un euphémisme !Il fallait aussi panser les blessures dues aux chutes ! telle la fois où l’arcade sourcillière a rencontré le guidon… Devinez qui a gagné ???
A l’aide d’un chiffon graisseux recherche de la plaie pour voir si l’oeil était touché. ouf ! non.
Mais impossible de rentrer à la maison avec un visage couvert de sang et boue séchés plus quelques traces de cambouis, alors qu’au départ, ce minois était très joli. Donc passage obligatoire chez une tante de Marie pour, au minimum, refaire un ravalement de façade pour ne pas effrayer sa maman.
Bien sùr il y eu quelques larmes, mais pas de cri ni de pleurs inconsolables… Chez nous, on n’est (ou nait) motarde ou pas.