Remettons-nous en situation. Nous sommes le mardi 29 juillet et nous rentrons en Ile-de-France. Pas de chance, il fait encore très beau à Port Bourgenay, nous ne sommes donc pas très enclin à plier bagages rapidement. Quelques regards complices suffisent à Tibo et à moi pour nous accorder à profiter un maximum de nos derniers instants en Vendée. Après le rangement et le ménage qui s’imposent, on improvise un pique nique avec les restes à disposition et nous nous mettons en route avec les valises dans le coffre pour trouver un petit coin de tranquillité au bord de mer qui saura accueillir nos augustes fessiers ^^ Pas besoin de rouler bien loin pour trouver notre bonheur : la baie de Cayola fera très bien l’affaire. Mais oui ça vous dit quelque chose la baie de Cayola, c’est normal 😉
C’est assis sur un banc pratiquement à flanc de falaise, que l’on déguste quelques sandwiches aux embruns et que l’on se délecte d’une vue imprenable… on prend tout notre temps. Vous vous dites que comme on déjeune il doit être aux alentours de midi. En fait il est 15H et on a du mal à se résigner à rentrer chez nous. On se motive en pensant à Paris au mois d’août, calme et déserté. Et puis au pire, il y aura toujours Paris-Plage 😀
Ci-dessous vous pouvez admirer la position des pieds des deux hommes. Génétique, quand tu nous tiens… ^^
On aperçoit sur la photo suivante (toit rouge à droite) le restaurant Le Cayola où nous avons mangé et failli abandonner Kelyan à la première bonne âme charitable 😉
Cette fois-ci, il est réellement temps de dire au revoir à la mer et de nous en retourner vers nos contrées plus bétonnées et moins sauvages (quoi que…)
😀