Ciel gris qui a vite viré au bleu pour nous remettre de nos émotions ferroviaires, un vrai bonheur.
La géode ou « la Boule » comme diraient les gens à côté de nous. Thibaut a dit les « provinciaux », je le laisse seul maître de ses a priori 😉
Avant-gout
9h00 – mon homme à peine réveillé me lance : « et si on allait à la Villette ? » En compagne aimante et docile que je suis, je me soumets à son exigence et je me prépare derechef.
10h30 – j’ai fait aussi vite que j’ai pu 😉 : nous voilà partis.
Déjà, petit avant-gout de la cité des sciences dès notre arrivée à la défense pour prendre le RER A : L’odorama. Passage obligé pour tous ceux en fauteuil roulant ou avec une poussette pour atteindre les quais : l’ascenseur.
Pendant que papa dort…
Dimanche matin, 7h00. On m’appelle.
Enfouie sous ma couette, la tête collée contre mon oreiller bien chaud, je tente à travers le mur un « Kelyan, il faut faire encore dodo ». Sans succès 🙁
La chair de mon sang n’en a que faire de mon besoin de sommeil supplémentaire. Lui il est au lit depuis 20h00 la veille alors il a eu son compte. Quant a moi, je rassemble toutes mes forces pour me lever et je laisse là, non sans quelques remords, mon chéri endormi.
Séance quasi dominicale : le jus d’oranges pressées.
Un tabouret et hop ! le tour est joué. Au début il a fallu quelques ajustements pour apprendre à Kelyan que la peau des oranges ne se mange pas. Bizarrement le gout et la texture n’avaient pas l’air de le déranger plus que ça et il se targuait même d’un « mmmmm, c’est bon ! » 🙂
Désormais il a assez de force pour presser lui-même, et de toutes façons, il veut tout faire tout seul donc je suis seulement préposée au coupage d’oranges en deux 🙂
Pendant que papa dort…
Dimanche matin, 7h00. On m’appelle.
Enfouie sous ma couette, la tête collée contre mon oreiller bien chaud, je tente à travers le mur un « Kelyan, il faut faire encore dodo ». Sans succès 🙁
La chair de mon sang n’en a que faire de mon besoin de sommeil supplémentaire. Lui il est au lit depuis 20h00 la veille alors il a eu son compte. Quant a moi, je rassemble toutes mes forces pour me lever et je laisse là, non sans quelques remords, mon chéri endormi.
Séance quasi dominicale : le jus d’oranges pressées.
Un tabouret et hop ! le tour est joué. Au début il a fallu quelques ajustements pour apprendre à Kelyan que la peau des oranges ne se mange pas. Bizarrement le gout et la texture n’avaient pas l’air de le déranger plus que ça et il se targuait même d’un « mmmmm, c’est bon ! » 🙂
Désormais il a assez de force pour presser lui-même, et de toutes façons, il veut tout faire tout seul donc je suis seulement préposée au coupage d’oranges en deux 🙂